A un interlocuteur lui déclarant vivre dans la peur, sa maison ayant au passage connu une dévaluation en raison de sa proximité avec le camp de migrants, Nicolas Sarkozy s'est voulu affirmatif : "Avant la fin de l'été 2017 [...], le problème de la jungle sera réglé ! Et qu'on ne me dise pas que c'est impossible."
des propos loin des accords du Touquet signés en 2003 par un certain Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur.